L’activité, qui réunit jusqu’au 15 janvier les membres de la juridiction, vise à revisiter les dispositions juridiques, approfondir les connaissances sur les litiges, et harmoniser les points de vue sur l’interprétation du code électoral, en cas d’éventuelles contestations. “Le pouvoir régalien de la Cour est de veiller à la régularité des élections et des consultations référendaires. Elle tranche toutes les contestations”, a rappelé le juge Koffi Amékoudji, membre de l’institution.
Les élections, dont la liste provisoire des candidats est déjà connue, permettront d’élire 41 sénateurs.









































































































































